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Ma formation prof de yoga 200 heures à Rishikesh en Inde

Voici l’article qu’on m’a beaucoup demandé, il semblait attendu. Mais d’une façon, je suis triste de l’écrire. Car l’aventure, cette FOLLE aventure d’un mois, est terminée depuis plusieurs mois.

Comme je vous l’expliquais dans un article précédent, j’ai choisi d’aller jusqu’en Inde suivre une formation de prof de yoga. J’ai choisi le mois d’octobre (2022) car cela me semblait parfait niveau timing perso / boulot / météo là-bas / temps pour m’organiser.

Je l’ai dit : je suis triste. Car c’était fou, car c’était violent, car c’était intense. Ce n’était pas seulement du yoga, mais beaucoup, beaucoup plus que ça. Une véritable aventure humaine, émotionnelle, et spirituelle. Allez, je me lance (en essayant de retenir mes larmes !).




Le choix de la formation 200 heures

Je reviens un peu sur les basiques : le choix de la formation. Tout d’abord, une première formation est en général un « 200 heures » (on ne peut pas faire le 300 sans avoir déjà fait un 200. Et un 100 heures ce n’est pas « suffisant »). Je souhaitais avoir les bases du « vrai yoga » donc du Hatha Yoga. Mais j’avais aussi TRES envie de développer ma pratique du Ashtanga Vinyasa. J’ai trouvé une formation qui alliait les deux, avec des cours de naturopathie et Ayurvéda en plus, tout cela en plus des fondamentaux.

J’ai hésité entre plusieurs villes, mais j’ai retenu Rishikesh pour plusieurs raisons :

  • « proche » de New Delhi (5 à 6h de voiture ou vol interne rapide possible)
  • au pied de l’Himalaya
  • au bord du Gange
  • la « capitale mondiale du yoga », connue notamment grâce aux Beatles qui y sont allés pratiquer la méditation transcendantale dans les années 60

Je dois aussi admettre que la formation que j’ai choisie battait toute concurrence en termes de prix. J’ai pris contact avec d’anciens élèves (merci Instagram) et directement avec l’école. Il y a beaucoup d’avis vérifiés sur différentes plateformes. J’ai posé plein de questions en tout genre, et tout cela m’a vraiment rassurée !

Le programme et le planning quotidien

Le mois dure 28 jours soit 4 semaines. On pratique du lundi au samedi, le dimanche c’est repos. Les journées sont longues et intenses, mais on n’est pas là pour être en vacances !

Allez, je vous présente mes journées à la Shala. Attention, ça peut piquer !

5h30 – Réveil

6h00 – Thé du matin

6h30 – Shatkriya : les techniques de purification / nettoyage du corps. Nous avons pratiqué quotidien Jal neti (l’eau salée dans le nez), puis Sutra Neti (le cathéter dans le nez qu’on fait ressortir par la gorge : j’y arrive presque !). Je pratique tous les jours ces deux shatkriya depuis que je suis rentrée. On a aussi pratiqué Trataka (fixer une bougie pour faire pleurer les yeux et les nettoyer), et Kunjala (on boit de l’eau salée et on la vomit : seules quelques personnes ont choisi de le pratiquer). Nous sommes restés au stade de la théorie pour les autres, qui sont des techniques bien plus avancées.

7h00 – Pranayama : les exercices de respiration. On les a tous travaillé, petit à petit au fil des jours, avec les bandhas également.

8h30 – Ashtanga Vinyasa : on entrait dans le dur. Le premier jour, mes bras tremblaient tellement que j’ai failli en pleurer, et je me suis demandée ce que je faisais là… dès le second jour ça a été. Ce n’était pas facile tous les jours, car on est à jeun pour cette pratique tôt le matin. Le prof est dur avec nous, il nous pousse dans les ajustements, il se « force » à ne pas sourire. Je pensais être plus fraîche au début qu’à la fin : c’est l’inverse qui s’est produit. Le corps s’habitue, les muscles prennent le plis. Mais je dois admettre ne pas avoir pris beaucoup de plaisir dans ce cours !

9h45 – Petit-déjeuner : du riz ou porridge ou équivalent, du pain de mie grillé avec beurre ou beurre de cacahuète et des fruits !

10h30 – Pause d’une heure pendant laquelle on a quartier libre

11h30 – Cours différent chaque semaine : on a commencé par le chant de mantra. Je dois avouer que j’adore ça, il y en a de très jolis. Puis on a eu naturopathie (on a eu l’occasion de faire un bain de boue un matin), « teaching methodology » : on parle de tout pour être un bon professeur, préparer sa classe et son cours, etc., alignements et ajustements : on décortique des postures et on s’entraine à s’ajuster…

12h30 – Anatomie du yoga. On y a étudié plusieurs systèmes du corps humain, les bases pour le yoga on va dire. Pour la petite histoire, le prof avait 21 ans 🙂

13h30 – Déjeuner : alors OUI, on mange des lentilles et du riz à presque tous les repas. Avec des légumes cuits, du chapati (leur pain), une petite salade de crudités. Et c’était délicieux ! Les repas étaient « sattviques » en majorité, c’est à dire léger à digérer. Tout était épicé (avec beaucoup d’épices) MAIS pas épicé dans le sens piquant. Quoi, parfois le cuisinier nous faisait une petite blague… ! Pour la petite histoire : seuls des hommes cuisinaient 🙂 et vraiment vraiment bien.

Pause jusqu’à 15h avec quartier libre à nouveau.

15h00 – Philosophie du yoga. Nous n’avons pas eu le temps de tout étudier, bien entendu. On a commencé par parler d’écoles reconnaissants ou non les Veda. Puis on a parlé de Purusha et Prakriti (la philosophie de Samkhya), pour enchaîner sur des sutra importants des Yoga Sutra de Patanjali. Rien sur la Baghavad Gîta, malheureusement !

16h15 – Pause thé

16h45 – Hatha yoga : avec notre petite prof de 23 ans, on a bien souffert ! A chaque cours, on pratiquait les Surya Namaskar (salutations au soleil) du Hatha, puis des postures préparatoires en vue de décortiquer des postures clés. Chaque cours était thématique : flexions arrières, renforcement des quadriceps, torsions, grand écart… J’ai à la fois aimé et détesté ce cours. Car c’était difficile et ça a réveillé certaines de mes douleurs. Mais à la fois, la prof est adorable malgré son côté militaire, et elle a fait ressortir le meilleur de chacun de nous.

18h30 – Méditation : ah ce cours ! Je suis un peu déçue je dois dire. On a fait plusieurs Yoga Nidra ce qui était génial, mais j’aurais aimé plus de temps de pratique de la « vraie » méditation (ou concentration, si on veut être correct). Le prof, qui est également prof de philo dans d’autres écoles, était passionnant. Pour être honnête, je suis déçue mais par rapport à moi : je ne peux pas méditer. Ce n’est vraiment pas ma pratique préférée, et les cours me l’ont prouvé, malgré leur qualité.

19h45 – Dîner !

Puis extinction des feux dans la Shala à 22h. Ce qui veut dire que l’on doit être silencieux, mais nous pouvions rester dehors ou bien réveillé dans la chambre.

Mon quotidien à la Shala

Pour ma part, le réveil à 5h30 s’est fait tout en douceur. J’étais à l’heure tous les matins, alors que je pensais en être incapable, n’étant VRAIMENT pas du matin. Le fait de ne pas avoir de volet et d’avoir le ventilateur constamment allumé, faisait que mon sommeil n’était pas forcément profond. D’ailleurs, je me réveillais un peu toutes les nuits ! J’ai du dormir une moyenne de 5h à 6h par nuit je dirai, voire moins.

Cela ne m’a pas empêché de tenir les journées. Je n’ai pas ressenti le besoin de faire la sieste, comme d’autres personnes du groupe. Pendant les pauses, j’étais sur la balançoire (My spot, comme ils disaient) à écrire, ou bien où on mangeait, à étudier. Le soir également, je restais facilement jusqu’à 21h30 ou même 22h30.

Je suis très peu sortie de la Shala en semaine : le centre-ville se situe à 200 mètres en bas d’une côte. Et même si j’ai adoré la ville et les gens (un réel coup de cœur), cela me fatiguait trop de m’y rendre. Donc c’était très ponctuel quand j’avais besoin de faire une course.

Pendant les pauses (qui étaient suffisantes pour moi), on a le temps de faire sa lessive, d’étudier, de partager des moments entre nous, de faire la sieste, de parler avec des profs ou le staff… Ce sont de vrais moments sains, c’est aussi pour cela que je ne voulais pas sortir. Je voulais profiter de ce lieu magnifique et rempli de magie au maximum.




Mon avis sur l’école de yoga

Tout d’abord, je fais le choix de ne pas donner le nom de l’école ici 🙂 Si vous souhaitez savoir, envoyez moi un MP sur Instagram et je vous répondrais avec plaisir !

Je m’attendais à être dans un lieu magnifique, entouré de nature, avec des personnes adorables. Et ce fût plus que ça, bien plus. J’ai rencontré des personnes au cœur immense, qui donnent sans compter, qui ont cette étincelle de joie constamment allumée dans leur cœur. Sans ces personnes là, l’aventure aurait manqué de saveur.

La veille de mon arrivée, j’ai passé une nuit à New Delhi. Et à 7h du matin, j’ai reçu un message sur Whatsapp pour l’organisation de mon taxi jusqu’à la Shala. Sur le moment, j’étais stressée, car j’avais donné les infos plusieurs fois par mail avant. Mais à savoir : ils ne sont VRAIMENT pas stressés. Et quand on le sait, il suffit de leur faire confiance, et tout va bien. Le taxi est arrivé à l’heure et m’a déposé, sans problème à l’école après 5-6h de route. Pendant le trajet, je dormais, et le chauffeur m’a réveillée (en freinant haha), car une des personnes de l’école souhaitais me parler pour savoir si tout allait bien. J’ai ressenti TELLEMENT de bienveillance, je me sentais déjà en sécurité, avant même d’avoir franchi la porte.

Tout le staff est tellement au petit soin. Si on est malade et qu’on doit voir le docteur, ils sont là et nous emmènent. Si on a besoin de médicaments, ils y vont pendant qu’on est en cours et nous les donne ensuite. S’il y a une araignée, ils viennent (non sans se moquer) la faire partir. S’il y a un problème avec l’eau chaude, ils appellent des plombiers. Etc., etc., etc.

Ils ont toujours le sourire, ils sont toujours dans le positif, même quand ça ne va pas. Car oui, tout n’est pas toujours rose. Nous étions 20 dans le groupe, deux sont partis au cours de la deuxième semaine. Et certaines personnes ne faisaient que de se plaindre. Et pourtant, le staff s’occupait de nous, avec beaucoup de patience et de bienveillance.

Le premier jour, ils nous disent que nous faisons déjà parti de leur grande famille. Et à la fin, on le ressent vraiment, on comprend ce qu’ils ont voulu dire.

Si je devais donner un aspect négatif sur l’école, le voici : ils ne sont tellement pas stressés, qu’ils ne communiquent pas assez sur certaines choses (changements d’emploi du temps, organisation pour les sorties ou les examens). Nous attendons aussi pas mal de photos des dernières semaines. Mais on demande, et tout va bien.

Donc mon avis sur l’école est tranchée : je l’aime. Je m’y sens chez moi. Et je ne voulais vraiment, mais vraiment pas rentrer en France.

Mon avis sur les cours pratiques et théoriques, et les sorties

Tous les professeurs de l’école sont indiens, et je pense que sur les 7 profs, seulement 2 étaient plus vieux que moi ! Dans tous les cas, ils savent tous de quoi ils parlent, car ils pratiquent et étudient les aspects du yoga depuis très longtemps. Les enseignements sont de qualité, toujours avec leurs expériences personnelles.

C’est pour cela que j’ai choisi d’aller en Inde : pour recevoir un enseignement de personnes qui ont grandi là-dedans. C’est selon moi la meilleure façon de comprendre cette discipline complexe et très vaste. Je n’ai aucun regret sur ce choix, même si on me demande souvent pourquoi je n’ai pas choisi la France, ou Bali ! Une des personnes du groupe disait qu’ils ont beaucoup mis l’accent sur la spiritualité : en réalité, c’est leur mode de vie classique. Et ils l’ont partagé avec nous de manière très naturelle. C’est aussi cela qui a rendu le voyage en Inde inoubliable, être immergé dans cette vaste culture.

Le nombre d’anecdotes que nous avons entendu des profs : le prof d’anatomie et son guru, le prof d’ajustements qui vivait reclus dans un Ashram et ne voulait plus revenir à la réalité…

Il y a également eu des sorties organisées :

  • surprise,  un mariage : pendant la première semaine, l’un des fondateurs de l’école se mariait (à une française !). Ils ont condensé les 10 jours habituels de mariage en 3 jours. C’était tellement génial : la Shala s’est transformée avec des tonnes de décorations, et des lumières partout. Nous vivions au milieu des invités et je dois même dire : nous faisions partie des invités. Nous pouvions assister à toutes les cérémonies (dont celle à la plage, très beau moment), aux fêtes, aux repas, etc. L’emploi du temps a été un peu chamboulé, mais j’ai adoré l’intention derrière tout cela !
  • visite de la « grotte » d’un yogi : nous sommes montés dans la montagne himalayenne, chez un yogi. Une personne reclus qui vit avec pas grand chose. Nous avons été par petits groupes dans sa grotte, pour changer des OM. C’était incroyable, les vibrations du lieu nous ont profondément touché. C’est la première fois que j’ai ressenti quelque chose de profond en chantant des OM, les vibrations étaient intenses dans ce lieu (d’autant plus que j’étais avec quatre personnes du groupe chères à mon cœur dans la petite grotte).
  • cérémonie du feu au bord du Gange : le Ganga Aarti ! Tous les soirs, les ghats (escaliers au bord du Gange) se remplissent de personnes qui viennent assister à ces cérémonies. Nous avons eu notre petite prière avec le (jeune) prêtre, puis nous avons assisté à la cérémonie. Des lampes allumées circulent dans la foule, donc on peut la faire tourner nous aussi. Puis on jette des pétales de fleurs dans le Gange. Moment magique et intense à nouveau. Nous avons fini par un dîner au restaurant, mais difficile d’apprécier car c’était épicé (piquant) comme jamais !
  • le lever du soleil dans la montagne. Nous nous sommes levés à 3h30 du matin (je pense avoir dormi 3h car j’étais tellement excitée), et à 4h nous sommes partis pour un peu plus d’une heure de route dans la montagne. Si vous connaissez la Corse… c’est pire ! Quand nous sommes arrivés au temple, il faisait encore nuit. Et nous avons tout simplement contemplé le lever du soleil. J’ai versé des larmes de gratitude d’être là, c’était tellement beau et pure. Puis nous avons fait quelques pranayamas, un petit passage par le temple avec un prêtre et on est repartis. C’est un des meilleurs souvenirs de ce magnifique mois en Inde.
  • célébrations de Diwali : pendant le mois d’octobre, l’Inde toute entière célèbre Diwali, la fête des lumières (le moment où Rama a sauvé Sita du démon Ravana, dans le Ramayana). Pendant plusieurs jours et nuits, tout le monde fait péter des feux d’artifices ! On a eu l’occasion de le faire un soir, sur le toit de l’école. Moment impressionnant et très drôle. Avant cela nous avions allumé des petites lampes avec de l’huile de moutarde et des mèches, et nous les avons placées dans des lieux sans lumière.

J’ai aussi eu l’occasion de visiter l’Ashram des Beatles, qui n’était pas très très loin à pied (peut-être 45 minutes). On y est allés un des jours du mariage, car les cérémonies avaient du retard. Ce lieu est également rempli de belles énergies, j’ai adoré la beauté du lieu. Quel dommage que ce soit abandonné à présent ! Et cela a renforcé les liens avec le groupe également.

Ces moments en dehors des cours étaient très bien choisis par le staff. Nous avons d’ailleurs eu l’occasion de prendre des Tuk-tuk. C’était assez incroyable tout ça.

Points sur la culture indienne et choses à savoir

On me demande souvent si je n’ai pas eu peur d’aller en Inde, comme si dès que l’on y mettait le pied, on risquait de se faire tuer dans la minute. J’avais de l’appréhension car je n’avais pas voyagé depuis longtemps, mais en réalité, je ne peux pas dire que j’avais peur. Lors de mon arrivée à Delhi, j’ai attendu 20 minutes le taxi devant l’aéroport et je ne me suis pas sentie en insécurité. Une fois à Rishikesh non plus, même le soir (la nuit tombait vers 18h), aucun problème.

On nous recommande de couvrir nos épaules, de ne pas montrer nos jambes, etc. Mais en réalité, il n’y a pas de soucis. Les indiens sont adorables, gentils, drôles, et aident avec tout leur cœur.

Comme dans tous les pays, tant que l’on respecte leurs traditions, pourquoi y aurait-il un problème ? Par exemple, l’Inde est très très bruyante. En cause leur façon de conduire : ils klaxonnent pour tout et rien : « je suis là », « je te double », « attention ». Ils klaxonnent tout le temps ! Mais ils ne sont pas énervés comme nous au volant. Cela fait simplement partie de leur culture. On respecte, on est chez eux, c’est comme ça.

Je les ai trouvés très inclusifs dans leurs cérémonies, dans les temples, etc. Je n’ai ressenti aucun racisme, ni condescendance envers nous les femmes. Peut-être est-ce différent car nous ne sommes pas indiennes et nous avons de l’argent (ils le savent). Mais cela a renforcé mon amour de ce pays et des indiens.





Je pourrais parler de l’Inde durant des heures… chaque histoire qui m’est arrivée renferme une autre histoire, et ainsi de suite. J’ai fait des rencontres inoubliables, tant dans le groupe, dans l’école qu’à l’extérieur. Jamais je n’oublierai ce mois d’une rare intensité à plusieurs niveaux. Et le retour en France a été franchement difficile.

Lorsqu’on se rend dans ces pays « dits sous-développés », on se rend compte que nous avons tout ce dont nous avons besoin en France (quand on a un peu d’argent, bien sûr). Là-bas, ils possèdent moins, les liens familiaux sont plus forts, et se plaindre… je ne me souviens pas avoir entendu des gens se plaindre ! Au contraire, le sourire est toujours là. Et dès qu’on leur sourit, on a un magnifique sourire en retour.

Quelques petites choses que j’ai apprises là-bas :

  • il n’y a pas de hasard, tout arrive pour une « bonne raison » (j’ai pensé avoir choisi Rishikesh par hasard, alors qu’en réalité non)
  • toutes les personnes que l’on croisent dans notre vie sont là pour nous enseigner quelque chose. Même les « mauvaises » rencontres doivent nous être utiles
  • on n’a certainement déjà rencontré les personnes que l’on croise dans une autre vie, elles reviennent pour voir si nous avons appris la leçon…
  • les énergies des gens et des lieux ont un fort impact sur nous. Qu’est-ce qui m’a permis de me lever tous les jours à 5h30 pendant un mois, malgré la fatigue et le manque de sommeil ? Les vibrations du lieu et des gens, sans aucun doute. Alors entourons nous de personnes bienveillantes au quotidien, et laissons de côté les personnes toxiques.

Ce mois d’octobre 2022 restera gravé dans ma mémoire toute ma vie. Merci Rishikesh, merci l’Inde, et merci le yoga !


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7 Comments
  • hubert LOGNOUL
    28 février 2023

    un grand merci pour avoir partagé ce magnifique voyage initiatique au coeur de l’Inde à travers le yoga

  • Clelence
    31 août 2023

    Peux tu me donner l’adresse de l’ashram ?

    • Claire
      9 septembre 2023

      Bonjour, il s’agit de Pyramid yogshala 🙂

  • Marcon
    9 septembre 2023

    Bonjour je souhaiterais savoir çi vous pratiquer en ligne

    • Claire
      9 septembre 2023

      Bonjour, non ce n’est pas dans mes projets prioritaires 🙂

  • Cindy
    12 février 2024

    Bonjour,
    Merci pour ce retour d’expérience ! Avez-vous suivi des cours en français ou en anglais ? Si c’était en anglais, est-ce que la compréhension se fait facilement ?
    Merci 🙂

    • Claire
      13 février 2024

      Bonjour Cindy, effectivement je n’ai pas mentionné que la formation était entièrement en anglais (avec l’accent indien haha). Il y avait parfois un prof que je ne comprenais pas, mais on s’entraide entre nous et on peut toujours demander à répéter ! Je parle assez bien anglais donc pas de soucis pour moi, ensuite cela dépend de chacun !