Hello ! Comme je suis contente de vous parler d’un sujet que j’adore, et dont je n’avais que très peu parlé sur le blog jusqu’à présent : les tatouages !
Je suis désolée si vous me suivez sur Instagram et que une fois de plus, vous voyez ce sujet qui revient… et pourtant c’est mon actualité des mois de novembre et décembre. En effet, je viens de me faire tatouer mon deuxième dessin permanent, ancré à vie dans ma peau. Et l’attente a été assez longue puisque j’ai pris rendez-vous en juin dernier. J’avais très hâte de pouvoir enfin échanger concrètement sur mon idée avec la tatoueuse, de voir le dessin et surtout le résultat fini sur ma peau !
Etant en pleines recherches sur la cicatrisation, l’hydratation et le sujet en général, mais aussi parce qu’on me l’a gentiment demandé sur Instagram, je vous propose un guide complet : choisir son tatouage et son tatoueur, se préparer à la séance, bichonner son nouveau bébé et l’hydrater tout au long de sa vie. Et si possible avec des produits naturels/bio et vegan.
Je partage mon expérience personnelle, qui ne saurait remplacer les conseils d’un tatoueur professionnel.
1. Trouver l’inspiration pour son futur tatouage
Vous voulez absolument un tatouage, depuis très jeune… vous en voyez sur toutes les peaux et vous avez vraiment envie d’avoir le vôtre, à votre image, avec une signification forte… Mais vous ne savez pas quoi vous faire tatouer ! C’est très fréquent, et c’est aussi cela qui pousse les gens à se rendre en salon de tatouage et à regretter le dessin par la suite.
N’oublions pas que le tatouage est de l’encre posée sous l’épiderme de la peau, et que c’est à vie. Bien sûr, les techniques d’enlèvement sont de plus en plus sophistiquées pour répondre à la demande croissante. Mais ces techniques sont douloureuses et coûteuses. Alors autant se faire tatouer un dessin qui vous plaît vraiment. Cela n’empêche pas qu’en grandissant, vous ne trouverez peut-être plus de sens à ce tatouage longuement réfléchi…
Alors, quoi se faire tatouer ? On peut tout imaginer : un croquis en rapport avec une passion, un élément floral, un paysage, un objet, un animal, une personne, un concept… pensez à ce que vous aimez ; si vous souhaitez quelque chose qui vous ressemble, demandez-vous quel trait de caractère vous souhaitez mettre en avant, ou quelle signification..
Par exemple, chercher la signification d’une fleur que vous adorez, ou d’un animal.. si cela correspond à votre état d’esprit et votre caractère, il y a sans doute une piste à explorer.
Creusez sur les réseaux sociaux
Je ne vous apprends rien : les réseaux sociaux sont une formidable source d’inspiration, sur tous les sujets possibles. Et notamment sur les tatouages ! Pinterest et Instagram arrivent en tête pour trouver LA bonne idée. Je trouve que Pinterest ne montre que les « beaux tatouages », et on retrouve souvent les mêmes images. Sur Instagram, il y a de tout : les jolies photos de tattoos fraîchement réalisés avec un petit filtre sur l’appareil photo sur tatoueur, mais aussi les ratés/moins jolis/tatouages classiques sur les comptes de personnes lambda.
Je n’ai pas hésité à chercher longtemps, avec différents mots clés en français ET en anglais. C’est sûrement dans la langue de Shakespeare que vous trouverez votre bonheur… Pour sauvegarder les jolis visuels, rien de plus simple : on crée un tableau sur Pinterest dans lequel on enregistre les épingles (ou « Pins »), et on met en favoris sur Instagram (on peut créer une Collection pour trier les fichiers).
Faites un tour en salon de tatouage
C’est aussi sympa de sortir de chez soi et de se déplacer de temps en temps ! En général, dans les salons de tatouage, on trouve les Books des tatoueurs. Ce sont leurs réalisations, mais aussi des « flashs » : des tatouages prêts à être tatoués. Cela permet aussi de cerner le style de votre tatoueur, et éventuellement de le rencontrer.
Une fois que vous avez choisi le thème et quelques détails de votre prochain tatouage, il est temps de choisir son tatoueur.
IMPORTANT : évitez quand même de copier les dessins des autres !
2. Choisir son tatoueur
Le choix de l’artiste qui vous ancrera à vie un dessin sous la peau est très important. On ne choisit pas un tatoueur au hasard, et il y a quelques points auxquels il faut penser :
- Quel est le style de dessin du tatoueur ? Il existe tellement de styles différents avec l’expansion de cet art : le travail des fleurs, les tatouages réalistes, le dot (pointillé), le style bande dessinée, le travail des couleurs, le old ou le new school… Chaque tatoueur est différent ! Si vous souhaitez un tatouage toute en finesse, inutile d’aller voir quelqu’un qui aime les tatouages sombres remplis d’encre… De plus en plus, les tatoueurs refusent les tatouages tribaux ou maori, sans doute car ce n’est pas assez compliqué et « excitant » à tatouer. Il est donc important de choisir son tatoueur en fonction de ce que l’on souhaite comme dessin.
- Est-ce que le salon est propre ? Je veux dire, vraiment propre. Vérifiez bien que le tatoueur utilise des outils à usage unique (ça me fait un peu mal au cœur puisque je suis dans une optique zéro déchet, mais là il s’agit de ne pas attraper de maladies graves !) des gants, des produits désinfectants. Si le lieu ne semble pas irréprochable niveau hygiène, passez votre chemin.
- Est-ce que le tatoueur est de bon conseil ? Il est tout à fait possible d’avoir une idée de tatouage en tête, sans avoir les détails précis. Un tatoueur créatif et professionnel vous aidera à peaufiner le dessin, et vous conseillera sur les détails. S’il vous dit qu’un élément ne convient pas dans la composition, écoutez-le (sauf si vraiment c’est un détail obligatoire à vos yeux puisqu’il y a une signification importante).
- Est-ce qu’il a bonne réputation ? On n’est pas obligé de se faire tatouer par une star, mais avec les outils numériques et les réseaux sociaux, il est beaucoup plus simple de savoir si un tatoueur « fait bien son taf ». Recherchez les avis sur Google, sur Facebook, voire sur Instagram. Peut-être que la presse a déjà parlé de ce tatoueur qui a fait X conventions, et dont tous les clients sont ravis… à l’inverse, peut-être qu’il est inconnu au bataillon, au point d’être louche.
- Le prix total du tatouage est-il correct ? Par correct, j’entends « à la hauteur du tatoueur » : un professionnel très connu vous fera certainement des prix plus élevés, ce qui est normal. Mais n’oubliez pas qu’un tatouage ne coûtera pas moins de 60-70€, même pour quelques tracés (question du coût du matériel utilisé + rémunération du tatoueur). A l’inverse, inquiétez-vous si le tarif est beaucoup trop alléchant : un bras entier pour une centaine d’euros ? JAMAIS DE LA VIE ! Par exemple, mon premier tatouage m’a coûté 50€ au lieu de 100€ (le tatoueur n’avait pas encore ouvert son salon, je l’ai connu via une personne de confiance – durée de la séance : environ une heure). Et mon second tatouage sur le bras : 350€ pour 1h de dessin + 3h de séance + les retouches.
Comment j’ai choisi ma tatoueuse ?
Après avoir passé beaucoup de temps à la recherche d’un tatouage qui me corresponde, j’ai regardé dans la ville où j’habite si une personne correspondait à mes choix. Puisque je souhaitais des coquelicots avec ornements floraux autours, il me fallait une personne avec un style plutôt féminin, qui sache tatouer des traits fins, avec des ombres.
Et figurez-vous que je n’ai pas trouvé mon bonheur dans ma ville de 130 000 habitants… mais à 30 minutes de là, dans une commune beaucoup plus petite ! Une tatoueuse qui a beaucoup d’abonnés sur Facebook et qui fait l’unanimité dans son domaine. Et pour cause, ses tatouages sont magnifiques.. je n’en revenais pas d’avoir trouvé une pépite proche de chez moi.
Je me suis donc déplacée, pour exposer mon projet et j’ai tout de suite compris que ça ne l’a branchait pas trop (c’est mon ressenti, elle ne me l’a pas dit clairement). Elle m’a dit que je pouvais avoir un rendez-vous plus rapide avec sa collègue, qui était là, et qui tatouait dans le même style. J’avais en amont regardé aussi ce qu’elle tatouait, et c’était tout aussi magnifique : vendu !
Rendez-vous avec Anaïs en novembre pour la première séance (on était en juin, tellement hâte…) ! J’ai quand même regardé les avis sur cette tatoueuse en rentrant chez moi, et ils étaient tous positifs : tous les tatoués étaient ravis de ses conseils, de sa gentillesse, et de son travail. Et a fortiori, je ne regrette pas 🙂
Pour voir les dessins réalisées par ma tatoueuse, c’est par ici : Ness Tattoo.
3 . Préparer sa séance : to do et not to do
Le jour J approche, du stress, de l’émotion, de l’excitation… ENFIN ! Mais je dois vous dire, c’est maintenant que les ennuis commencent 😀 avant-même la séance…
Quelques règles strictes à respecter AVANT la séance de tatouage :
- pas d’alcool, drogues, ou médicaments contenants de l’aspirine : non seulement vous aurez très mal après, mais la circulation de votre sang n’aidera pas le tatoueur.
- ne réalisez pas de gommage sur la future zone tatouée : la peau deviendra trop sensible au dermographe
- dormez bien : pas de nuit blanche ou grosse fête quelques jours avant : bon sauf si c’est la pleine lune qui vous empêche de dormir… Il vaut mieux être en forme.
- évitez de choper un coup de soleil : forcément, une peau abîmée ne pourra pas recevoir l’aiguille !
A l’inverse, hydratez votre peau avant (et si possible régulièrement dans votre vie), buvez de l’eau : c’est bon pour la santé (l’OMS recommande au moins 1L5 d’eau par jour – en revanche ne buvez pas 5L par jour car c’est toxique !), essayez d’arriver en pleine forme, reposé.
Que faire si j’ai mes règles ? Je n’ai pas trouvé de contre-indications, les miennes sont arrivées deux jours avant ma deuxième séance, et je n’ai pas ressenti de problème particulier. Par contre si vous êtes pliée en deux à cause de la douleur, ce n’est pas une bonne idée d’aller se faire tatouer !
4. Déroulement de la séance
Le placement du dessin
Après avoir validé ensemble le dessin (soit en amont de la séance, soit juste avant), le tatoueur nettoie et désinfecte la zone qui va recevoir l’encre. Il se nettoie lui aussi les mains. Puis il utilise un calque pour transférer les traits du dessin sur votre peau.
C’est le moment d’être ultra attentif et je dirai même : d’être exigeant. Si vous voulez que le tatouage soit tourné d’un côté, plus à gauche, plus en haut : c’est votre droit ! Sauf contraintes comme les plis des bras par exemple, le tatoueur respectera votre choix. Et bien évidemment, si vous le voulez sur le bras et pas sur la cuisse, c’est vous qui décidez. Le tatoueur vous conseillera sur la taille du tatouage selon la zone tatouée.
Exemple : si vous voulez un petit tatouage en plein milieu de la cuisse, en général, c’est « moche ». Sur les grosses zones : on tatoue des grosses pièces. Ma tatoueuse a été de bon conseil pour mes coquelicots : les placer en suivant la courbe du bras, pour que ça ne fasse pas un gros pâté posé en plein milieu. Et elle avait raison ! Il faut aussi faire confiance au professionnel et trouver le juste milieu entre souhait et être raisonnable.
Que la souffrance commence…
Mais non je plaisante ! Soyons clairs dès le départ : la douleur dépend fortement de la zone tatouée. Sur les cotes, les pieds et mains, bref les os : ça fait plus mal que sur les autres parties du corps. Ensuite, la douleur dépend de la résistance personnelle. Sur l’omoplate je n’ai pas eu mal, sauf sur une toute petite partie.
Et sur le bras : je n’ai rien senti pendant ma première séance, pour les lignes de contour. J’étais moi-même étonnée puisque douillette ! En revanche, lors de la seconde séance pendant laquelle ma tatoueuse a ajouté les ombres : j’ai eu 15 minutes de gêne. Pas au point de lui demander d’arrêter, mais au point de serrer les dents quand même. Elle grattait sur ma peau, et c’est surtout la zone arrière, proche de l’aisselle, qui m’a fait un peu mal.
Ce que j’ai trouvé le plus douloureux, c’est lorsque la tatoueuse nettoie entre chaque piqûre l’encre sur la peau (sinon elle n’y voit plus rien). Rapidement, on ressent une chaleur importante, comme un énorme coup de soleil !
Que faire pendant la séance ?
Vous pouvez discuter avec votre tatoueur, s’il fait comprendre qu’il peut faire deux choses à la fois :). Vous pouvez aussi mettre des écouteurs, regardez votre téléphone… il n’y a pas de règle stricte.
5. Cicatriser dans de bonnes conditions
Et voilà, le tatoueur a fini son travail, ou du moins la première séance. Il vous laisse en général le temps de l’admirer, et réalise plusieurs photos souvenirs. Puis il applique un « pansement » : une bonne couche de crème sur l’oeuvre, enveloppée dans du cellophane. Cela permet au tatouage d’être protégé jusqu’au retour à la maison. Gardez ce pansement jusqu’à deux heures maximum, et n’en remettez jamais ! Exception : si vous réalisez des travaux salissants et que vous ne pouvez pas porter de vêtements.
Il y a ensuite plusieurs phases dans la cicatrisation du tatouage, dépendantes de la peau de chacun :
- Les premiers jours : la peau est rouge et parfois démange un peu, et rejette un peu de lymphe. La peau est assez sensible.
- La première semaine : le corps va commencer à rejeter de l’encre. On a alors l’impression que l’on perd son tatouage : c’est normal ! C’est le surplus d’encre rejeté par le corps. Il ne faut surtout jamais gratter la peau et laisser le rejet se faire naturellement.
- Par la suite, la peau peut peler : laissez-là également !
La cicatrisation peut durer de quelques semaines à plusieurs mois : ce n’est pas parce qu’on a l’impression que la peau a retrouvé son aspect classique que la cicatrisation est finie. D’où l’importance de continuer à bien hydrater sa peau !
Ecoutez bien les conseils de votre tatoueur en ce qui concerne l’application de la crème cicatrisante, indispensable pour votre peau. En général, après avoir nettoyé la zone tatouée avec un savon au pH neutre et de l’eau tiède ou froide, on applique la crème cicatrisante 3 ou 4 fois par jour en couche moyenne, pendant 2 à 3 semaines.
Règles de bonnes conduites
Vous vous doutez bien qu’il y a quelques contraintes qui s’offrent à nous, dès lors que notre peau est à vif ! A lire et respecter absolument :
- pas de bains, de hamman ou sauna, ou temps prolongé dans l’eau pendant plusieurs semaines
- interdiction de pratiquer des sports intenses pendant 15 jours : la transpiration peut altérer le tatouage et la qualité de la cicatrisation
- pas de séance d’UV, pas d’exposition au soleil (je vous conseille même de vous faire tatouer en automne/hiver !)
- utilisez de la crème solaire indice 50 à vie sur votre tatouage, sinon les couleurs risques de s’atténuer et les lignes pourront s’estomper…
- on touche toujours le tatouage avec les mains propres ! C’est à dire qui viennent d’être lavées au savon, et on s’essuie sur une serviette dédiée à cet usage.
6. Hydrater son tatouage (au naturel)
A lire : le kit de soin bio pour tatouage de Karethic
Je vais être honnête avec vous : je n’ai pas opté pour une solution 100% naturelle pour faire cicatriser et hydrater mon tatouage. N’ayant aucun recul sur la fiabilité des techniques naturelles pour la bonne cicatrisation du tatouage, j’ai préféré faire « comme tout le monde » et suivre les conseils de ma tatoueuse : utiliser la crème Bepanthen, dans laquelle il y a des composants dérivés du pétrole. C’est une crème dont l’efficacité n’est plus à prouver. En revanche, la composition est tellement… pourrie ! Quelques jours après la seconde séance, j’ai scanné le produit sur Yuka et HORREUR ! La crème Bepanthen est vraiment à fuir… Et finalement, vous allez voir qu’il existe des tas de solutions naturelles !
Quel savon utiliser pour nettoyer le tatouage : je vous recommande à 200% le savon au pH neutre de Karethic. Au contact de l’eau et de la peau, il offre une crème hydratante toute douce au beurre de karité !
Quel produit naturel pour la cicatrisation du tatouage : l’huile de coco (propriétés nourrissantes et cicatrisantes) et l’aloe vera (propriétés antibactériennes) semblent remporter tous les suffrages (attention car apparemment l’huile de coco ferait virer la couleur noir de l’encre vers le bleu si utilisé pendant la cicatrisation), le beurre de karité est aussi très hydratant !
Une crème tout en un ? au fil de mes recherches (car je souhaitais quand même trouver une alternative naturelle à la Bepanthen) j’ai trouvé une crème qui pourrait remplacer la crème chimique. Et pour cause ! Elle contient de l’aloe vera, du beurre de karité et de l’huile d’amande douce. Il s’agit de la crème réparatrice de la marque Pur’Aloé. Je l’ai achetée environ 12€ à Biocoop, après avoir lu l’article d’Audrey qui indiquait l’avoir utilisée du début à la fin de la cicatrisation de son tatouage.
Il existe également des crèmes et baumes vegan, spécialement conçus pour les tatouages. Quelques marques en vrac : Organic Balm Tattoo, Hustle Butter Premium, Easy Tatto…
Voici la routine pour mon second tatouage (en toute honnêteté) :
Après la première séance :
- Nettoyage avec le savon pH neutre de Karethic
- Crème cicatrisante Bepanthen tous les jours pendant 15 jours, 3 à 4 fois par jour
- La troisième semaine : Bepanthen le matin, et soit du beurre de karité pur de Karethic soit la crème réparatrice Pur’Aloé le soir
Après la seconde séance :
- Nettoyage avec le savon pH neutre de Karethic
- Crème cicatrisante Bepanthen tous les jours pendant 3 jours, 3 à 4 fois par jour (j’arrête cette crème puisque la composition est dégoûtante)
- Les 3 semaines suivantes, 3 à 4 fois par jour : crème réparatrice Pur’Aloé et quand la peau gratte : un peu d’eau florale de lavande pour apaiser
- Une fois la peau cicatrisée : hydratation avec le beurre de karité Grand Cru de Karethic
7. A savoir
Une petite liste de choses en vrac pour finir l’article 🙂
- Le tatoueur choisi vous demandera certainement un acompte. Pourquoi ? Parce que malheureusement, beaucoup de personnes annulent et laissent les artistes sans la possibilité de combler le rendez-vous. Je trouve cela tout à fait normal, et j’entends parfois des personnes en désaccord total. Pourtant, être tatoueur est un vrai métier, respectons nos tatoueurs !
- Les tatoueurs souhaitent souvent apporter leur touche personnelle, ce qui est normal également ! Alors laissez-les donner des conseils, ajouter quelques éléments, être un minimum libres sur le dessin. Vous serez souvent agréablement surpris <3
- La Bepanthen est une crème grasse, et j’ai beaucoup lu que les vêtements sont foutus après utilisation. Ce n’est tout simplement pas vrai ! Voici mon secret : un savon de Marseille (un vrai !) et de l’eau très chaude : on frotte le savon sur la zone qui a reçu de la crème, puis directement la machine à laver pour un cycle classique. Approuvé de mon côté 🙂
J’espère ne pas vous avoir perdu après ce très long article ! Mais j’étais ravie de pouvoir partager avec vous mon expérience tatouage. Certains tatoueurs sont de véritables artistes… et je pense déjà que ce second tatouage ne sera pas le dernier ! J’ai déjà quelques idées qui traînent en tête 😀
Parlez-moi de votre expérience en commentaire ! Et surtout, si vous avez des conseils et astuces sur les soins au naturel pour un tatouage tout frais, je suis preneuse 🙂
Myrtilla
15 décembre 2019Eh ben, quel article super complet ! Je comprends pourquoi tu y as passé plus de 6h ! :O
En tous cas ton tatouage est vraiment magnifique, tu as bien choisi ! Merci pour toutes les précisions en tous cas ! Concernant la transpiration, je t’avoue que j’ai couru une fois un semi quelques jours après m’être fait tatouer la cuisse… et la cicatrisation s’est bien passée ! Tout comme pour les derniers, j’ai attendu peut-être 1-2 jours juste le temps d’avoir moins mal à la zone tatouée, et là encore j’ai pas eu de soucis, donc peut-être que ça dépend des gens et de la taille du tatouage, ou bien ils le disent pour se protéger au cas où !
En tous cas c’est toujours bien de le préciser 🙂
Claire
16 décembre 2019Haha c’est vrai que j’adore écrire des articles complets en général et ça me prend rarement qu’une heure ou deux ! Merciii je suis bien contente, surtout que je n’ai pas vu le dessin fini avant de l’avoir complètement tatoué sur la peau ^^ pour le sport je pense que c’est aussi à cause des frottements, avec le yoga ce serait hyper compliqué de garder le tatouage a l’air tout en bouchant dans tous les sens sur le tapis… Tant mieux si ça ne t’empêche pas de courir du coup !
Travel and Run
1 janvier 2020Hello, dans les préconisations avant tattoo tu peux ajouter le fait de bien manger avant (genre féculents) car on risque plus le malaise le ventre vide :). Sinon article très complet. Perso quand j’en ai marre du bepanthene j’alterne avec du cycatril pour pas être grasse tout le temps (mais pas les premiers jours). J’ai essayé des crèmes de tatoueurs mais j’ai pas toujours été convaincue…
Claire
1 janvier 2020Hello ! Merci pour ton commentaire 🙂 oui effectivement, le ventre plein c’est mieux pour se faire tatouer, surtout avant une longue séance ! Je n’ai pas essayé le cycatril, ni les crèmes de tatoueurs. Je trouve l’option naturelle super, car il n’y a pas de composants dérivés de la pétrochimie 🙂 Après j’ai quand même constaté que la bepanthen fait bien son job… Mais je pense que pour mon prochain tatouage, à part juste à la fin lorsque la tatoueuse me mettra la bepanthen, je ferai du 100% naturel !
A bientôt,
Claire